Du Vangr Gata
Undertale:The Lonely Soul
Inter-Arc 2:Cycle de vie
Chapitre 5 : Impact et Chiller
Sans arriva avec Frisk et Asriel dans la salle dédiée aux réunions parent-élèves-professeur du collège, il était 17h. C’était une salle assez grande pour une grande table ronde, quelques mobilier et une table pour le café.
Depuis que Frisk et Asriel allaient au collège, Sans assistait à ses réunions qui avaient lieu une fois par semaine, quand Toriel ou Asgore ne pouvaient pas venir. Bon c’est aussi parce que Sans est professeur de collège et que les parents des deux enfants étaient très souvent occupés.
Pour ne pas arranger le squelette, sa collègue d’Université, Diana, y allait aussi parce que son fils, Richar, était au collège. Mais elle prenait cher quand il était dans le coin.
Comme à chaque fois lorsqu’il débarqua dans la salle, Hélène, la présidente de l’association s’apprêtait à lui lancer une cinglante mais Sans leva le bras et la devança :
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« Oui je sais, je viens « encore » à la place de Toriel et je ne suis ni le père de Frisk, ni le père d’Asriel. MAIS ! Je suis également leur professeur. Mais c’est un plaisir de vous voir tous ce soir.
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Le petit squelette prit place autour de la table avec Frisk et Asriel qui s’installèrent à côté de lui. Tout le monde n’était pas encore arrivé pour que la réunion ne débute. Les quelques parents et (rare) enfants présents étaient soit en train de prendre un café, soit en train de discuter.
La tête appuyée contre la table, Frisk et Asriel tuaient le temps en faisant des passes avec un crayon sur la surface de la table. Sans, lui, écoutait et observait les alentours. Il tapait de temps en temps la discute avec un parent ou un élève. Au bous d’un moment il entendit une des conversations ennuyeuses de Diana avec deux autres femmes Linda et Helen :
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« Mon fils est premier au club de basket…blabla…il est le meilleur de sa classe blabla…
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« Oh et le mien a gagné son championnat de natation ce week-end et-
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Sans soupira d’agacement. On se croirait dans un café pour commère. Discrètement il se téléporta derrière elle et s’incrusta dans la conversation :
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« Hey vous voyez mes deux gamins là-bas ? (Frisk et Asriel levèrent la tête l’air de dire « gnéé ? ») Ils ont sauvé le monde ! AH !
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Les trois femmes restèrent bouche bée un instant, elles allaient reprendre leurs conversations, mais Sans revint à la charge en pointant Diana, les orbites sombres :
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« Oh et avant de dire que « mon fils est le meilleur de la classe » dois-je te rappeler qu’il a triché avec André juste sous mon nez pour la cinquième fois au moins ? Ça commence à faire mal des 0/20 consécutif.
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La femme prit un air pincé et répliqua :
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« Peut-être que vous ne faites pas correctement votre travail Sans ?
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« Ohoh devrai-je rappeler qui est le parent de ce gosse ? – répondit du tac au tac Sans avec un sourire narquois.
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La manche fut remportée par le squelette lorsqu’il vit l’air rageur de sa rivale qui s’apprêtait à sortir un juron. Avant de s’éloigner, Sans la nargua :
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« Il y’a des enfants ici…
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Quelques minutes plus tard, la réunion commença enfin. Une réunion barbante comme d’habitude où de temps en temps les gens s’écartaient du sujet en question. Sans allait piquer du nez lorsque son portable sonna, attirant les regards noirs de certains. Sans prendre attention à cela, il se leva et sorti de la salle quand il vit que c’était Papyrus qui l’appelait. Ça ne pouvait être qu’urgent puisque son frère ne l’appelait pas quand il était occupé.
Quand il répondit enfin, il entendit immédiatement Papyrus qui gueulait :
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« SANS ! IL FAUT QUE TU VIENNES ICI TOUT DE SUITE !
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« Ouah on se calme frangin, pourquoi il faut que je vienne ? Je suis occup-
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« S-SANS C-C’EST ENFIN ARRIVÉE !
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« Quoi donc ?!
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« NOS ENFANTS ! NOS ENFANTS SONT NÉE ! – s’exclama Papyrus fou de joie.
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Sans se raidit en entendant cela, il avait du mal à réaliser.
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« Quoi ?!
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« PLUS TARD LES EXPLICATIONS ! RAMÈNE TOI VITE LASYBONES !
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« Euh…ok j’arrive. – dit-il tout transpirant
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Il se passa la main sur le crâne, qui était bourré de questions sur ce qu’il venait d’apprendre. Il rentra dans la salle et se planta devant Frisk et Asriel qui étaient pas du tout réveillé.
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« Frisk, Asriel on lève l’ancre. – annonça-t-il plus que sérieux
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« Hein ? – dit Frisk
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« Euh…ok Sans. – dit à son Asriel sans trop se poser de questions
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Quand le squelette se dirigea vers la porte, Hélène l’interpella d’une voix sévère :
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« Sans vous ne pouvez pas partir comme ça sans aucune raison valable ou-
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« Je pars pour une urgence familial ! – articula-t-il les orbites sombres. – Bonne journée.
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Personne dans la salle n’osa le contredire. Tous les trois disparurent après avoir passé la porte. Le petit squelette réapparut devant la maison de Toriel et d’Asgore. Une jolie maison à deux étages de crépi beige et au toit en tuile rouge. Avant de passer le portail en bois menant à la grande maison, Frisk s’adressa à son ami :
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« Que ce passe-t-il Sans ? Pourquoi tu nous ramènes maintenant ?
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« Heh bien, il semblerait que Papyrus et Mettaton ont eu des bébés…je ne sais comment. Bref il faut que j’aille les rejoindre. On vous appellera plus tard ! – expliqua-t-il avec un air gêné.
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Sans qu’Asriel ou Frisk ne puissent ajouter un mot de plus, Sans disparu sous leurs yeux ahuris. Tous deux se regardèrent un instant puis ils entrèrent dans la maison.
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*
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Un peu avant chez Papyrus et Mettaton…
Papyrus et Mettaton étaient assis sur le canapé en train de regarder la télé où ils avaient mis un film. (et comme par hasard hem) Ils étaient vers la fin du film et le couple d’héros étaient heureux ils ont eu des gosses blablabla…
Quand le film fut fini, Papyrus s’exclama :
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« METTATON JE SUIS SUR QU’UN JOUR NOUS AURONS DES ENFANTS EXTRAORDINAIRE.
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Le robot leva un regard amoureux vers le squelette et tout en se blottissant contre lui, elle murmura :
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« Je l’espère darling, je l’espère.
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Tout à coup, dans un petit bruit de tire-bouchon, deux petits êtres enveloppés chacun dans un linge (ne me demandez pas d’où sors le linge) apparurent sur les genoux des jeunes parents. Mettaton et Papyrus regardèrent avec étonnement ce qu’il semblait être…deux bébés squelettes. Des jumeaux. Tous les deux avaient les mêmes grands yeux robotiques que Mettaton sauf qu’ils avaient des iris jaunes. L’un avait une mèche de cheveux noir qui tombait sur son œil droit et il avait le même sourire (avec moins de dents) que Papyrus. Une matière rose ectoplasmique recouvrait les os de son corps excepté sa tête et ses mains. Le deuxième avait un air plus féminin. Elle avait deux petites couettes noires sur son crâne et son sourire ressemblait plus à celui de Sans (avec moins de dents). La matière fantomatique sur son petit corps était violette. Les deux bébés levèrent leurs grands yeux étonnés vers leurs parents qui l’étaient tout autant et ils poussèrent chacun un petit bruit étonné :
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« Nyuh ?
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« Gooo ?
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Peu à peu, Mettaton et Papyrus réalisaient ce qu’ils leur arrivaient. Les larmes montèrent aux yeux du grand squelette tandis qu’il prenait les faux jumeaux dans ses bras. Il s’écria tandis qu’un cri de panique montait chez Mettaton :
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« METTATON, REGARDE COMME NOS BÉBÉS SONT MAGNIFIQUES !
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« AAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!
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Se prenant la tête d’une main, Mettaton saisi tout de suite son portable pour appeler Alphys. Papyrus de son côté jouait avec les deux bébés qui tendaient leurs bras vers lui avec d’adorable petits bruits.
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« Alphys ! Ramène-toi vite à la maison ! Ne te pose pas de question, juste viens ! – cria le robot dans son portable au bord de la panique.
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Après avoir raccroché, la nouvelle mère commença à faire les cents pas entre Papyrus et la porte d’entrée tout en s’arrachant les cheveux. Papyrus tenta de la rassurer tout en tenant dans ses bras les bébés :
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« METTATON CALME TOI TOUT VA BIEN SE PASSER !
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« Papyrus c’est arrivé tellement vite, comment je fais ? Il faut faire quoi ?! On n’est même pas préparé !
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« CHÉRIE ! CALME TOI TOUT VA BIEN !
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« On n’a même pas de biberons, de vêtements et de matériels pour nos bébés ! On n’a rien ! Omg ! Omg ! Omg !
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Pendant que sa femme paniquait, Papyrus appela son frère car il sentait qu’il allait avoir besoin d’un coup de main.
Quelques minutes plus tard, Alphys et Luna entrèrent dans la maison. Mettaton tomba tout de suite sur Alphys la noyant de son flot de paroles paniquées. Alphys finit par lui demander de se calmer :
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« Mettaton tout va bien se passer. Certes leurs naissances est plutôt soudaine et inattendue mais…t’en fais pas je vais t’aider. – rassura son amie – Déjà respire et calme toi.
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Le robot reprit doucement son souffle et regarda en direction de Papyrus et de ses jumeaux. Papyrus s’avança vers elle avec un regard encourageant et lui tendit les deux bébés qui gazouillaient. Alphys et Luna se mirent sur la pointe des pieds pour regarder les nouveaux nés dans les bras de Mettaton. En observant ces deux fantômes/squelettes, elle fut attendrie par leurs regards pétillants et leurs jolie sourire.
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« Vous êtes adorables tous les deux.
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« Nyuhuhuh ! – rigola celui avec la mèche sur son œil droit.
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« Goo ! Goo ! Goo ! – fit l’autre avec les couettes.
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« Haaan dites bonjours à papa et à maman.
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C’est à ce moment-là que Sans arriva à son tour (après l’avoir entendu faire un gros « bam » contre la porte), tout essoufflé. Quand il les vit avec les deux bébés, il fut d’abord surpris puis un vrai sourire s’afficha sur son crâne. Un sourire de joie.
Papyrus l’interpella :
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« AH SANS TE VOILA ! REGARDE COMME ILS SONT ADORABLES !
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Sans s’approcha d’eux, Mettaton se pencha pour lui montrer les jumeaux qui tournèrent leurs grands yeux vers lui. Sans tapota le bras de son frère et essuya une larme, ému :
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« Ils sont magnifique frangin. Mon petit frère est maintenant devenu le Grand papapyus.
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« NYEHEHEH ! ET TOI TU ES MAINTENANT DEVENU TONTON SANS.
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Luna et Alphys les laissèrent avec les bébés pour aller dans la cuisine improviser deux biberons de lait. Quand ce fut fait, elles en donnèrent un à chaque parent. Papyrus donna le biberon au bébé avec une mèche qui semblait être un garçon et Mettaton s’occupa de celle avec des couettes qui était une fille.
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« Alors comment allez-vous les appeler ? – interrogea Alphys après avoir pris une photo de famille
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Papyrus et Mettaton échangèrent un regard entendu puis Papyrus déclara en mettant le bébé qu’il tenait devant lui :
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« NOUS AVONS RÉFLÉCHI AVANT ET…IL S’APPELLERA IMPACT !
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Mettaton tout en donnant le biberon à l’autre jumeau annonça à son tour :
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« Chiller…son nom sera Chiller. Nos deux enfants Chiller et Impact.
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Désormais la famille c’était agrandit.
Au même moment, quelque part dans le Void…
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Dans l’obscurité sans fin, Gaster se tenait là. Après un moment d’absence, il finit par se redresser et il déclara :
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« Enfin…après toute ces années…
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Un silence s’installa jusqu’à…ce que Gaster se mette à sauter de joie :
« Je suis grand-père !! Wouhouh !!
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Le personnage d'Impact appartient à : Hattey
