Du Vangr Gata

Chapitre 79 : L’Aube…

 

                Le réveil d’Asriel posé sur sa table de chevet sonna vivement le tirant de son doux sommeil. L’enfant chèvre grommela et appuya sur l’appareil qui indiquait 7h00. Il se leva péniblement, l’esprit encore embrumé puis il s’étira.

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  « Allez, on est vendredi ça veut dire que demain on est en week-end. – songea l’adolescent pour s’encourager.

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Sa chambre était une pièce de taille moyenne. Son lit aux draps vert à une place était placé contre le mur avec la table de chevet en bois à côté. Entre le pied de lit et le mur d’en face avait placé son bureau avec la fenêtre juste à côté (son coin geek où il jouait beaucoup sur son ordinateur). Sur la gauche de l’entrée soi en face du lit était placé une étagère et une armoire. Il se dirigea vers celle-ci et sorti nonchalamment un T-shirt vert rayé de jaune, un jean et avant de sortir en trainant des pieds il chopa son gilet noir posé sur son siège de bureau.

Avant d’aller à la salle de bain se trouvant en face, il passa d’abord devant la porte de Frisk, la chambre voisine. Il toqua à grands coups à la porte en disant :

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  « Debout la feignasse ! Pour une fois c’est moi qui est debout avant toi ! Allez debout !

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  « Hey c’est bon, je vais me lever, pas la peine de taper comme un malade ! – répondit la voix ensommeillée de Frisk depuis l’autre côté de la porte.

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  « Dommage pour toi, c’est moi qui aurait la douche en prum’s ! – provoqua-t-il en s’éloignant à grande enjambé.

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Il l’entendit grommeler au loin et il entra dans la salle de bains.

Quand sa douche fut faite, dix minutes plus tard il descendit au rez-de-chaussée pour le petit déjeuner. L’escalier arrivait dans un couloir où à droite il y’avait la porte menant au salon, à gauche celle menant à la cuisine avec une autre menant à un garage et en face la porte d’entrée. Asriel alla dans la cuisine où Toriel et Frisk prenaient déjà leur petit déjeuner. Asgore lisait le journal au bous de la table. En l’entendant arriver, Frisk qui avait fini de manger lui lança avec un air bougon :

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  « Ah bas c’est bon t’as fini ? T’en as mis du temps !

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  « C’est ça d’avoir des poils à sécher aussi. Ça met du temps. Pis si tu n’es pas contente, il fallait te lever avant moi. – taquina Asriel en lui faisant un sourire narquois.

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  « Pff, bien sûr. Allez, je file ou on va être en retard. – annonça-t-elle en levant les yeux aux ciels.

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Toriel ria doucement en voyant ses deux enfants se chamailler. Tandis qu’Asriel s’installait et se servait en céréale, elle commenta :

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  « Aah vous êtes incroyable tout les deux, toujours à se chercher pour rien.

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 « Ca je ne te le fait pas dire. – renchérit Asgore en levant le nez de son journal, il était dans se tenue de roi aujourd’hui.

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  « Mais c’est elle qui commence à chaque fois ! – protesta Asriel- Hey ! Ce n’est pas drôle !

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La petite famille continua de manger tranquillement en échangeant encore quelques paroles sur par exemples, sur ce qui était prévu aujourd’hui ? Quels cours ? A quelle heure ils finissaient ?

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Quand Frisk fut prête, et que chacun eut préparé ses affaires, les deux adolescents se préparèrent pour partir. Ce jour-là, Frisk portait un jean, son T-shirt bleu et violet rayé, un gilet bleu, des tennis et l’écharpe rouge offert par Papyrus. Ce matin-là, c’était Asgore qui allait les emmener au collège car il devait se rendre à la mairie de la ville pour affaire.

Toriel les regarda se préparer à partir avec un petit sourire. Lorsque Frisk mis son sac sur son dos, elle s’approcha d’elle et ajusta ses vêtements. La jeune fille sourie devant les petites attentions de sa mère :

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  « Maman, t’en fais pas tout va bien.

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  « Oh mon enfant, il y’aura toujours un détail qui aura besoin d’être corrigé. -déclara-t-elle tendrement.

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Elle s’écarta pour se tourner vers Asriel qui avait réussi à coincer son sac dans une de ses cornes.

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  « Merci maman !

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  « De rien Asriel… (elle prit un air soucieux) Vous n’avez rien oublié les enfants ? Tout ira bien ?

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  « Non maman. Oui maman. – soupirèrent-ils en cœur.

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Toriel hocha la tête puis n’y tenant plus elle les sera contre elle, avec un air maternel. Asriel et Frisk se laissèrent faire, ils sentaient bien que leur maman chèvre n’allait pas bien. Elle leur murmura :

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  « Passez une bonne journée mes enfants. Je sais que je m’inquiète trop mais…soyez prudent d’accord ?

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 « On le serra maman, ne t’inquiète pas. – rassura Asriel

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  « Oui ! On te le promet. – dit Frisk

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Toriel caressa leurs visages d’un geste tendre et regarda Asgore qui avait un air grave.

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  « Allez, filez ! Vous allez être en retard. – dit-elle

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  « Oui ! A ce soir maman ! – lancèrent Frisk et Asriel en s’éloignant avec leur père avec des signes de la main.

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Toriel leur fit signe en retour puis elle ferma la porte d’entrée.

Malgré, tout, elle n’était pas sereine. Pourquoi avait-elle ce mauvais présentiment ?

​

*

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Comme tous les matins, Sans s’apprêtait à partir pour aller faire son cours à l’Université. Avant son départ, il alla saluer son frère. Il le chercha au rez-de-chaussée puis finalement en montant à l’étage il ne vit qu’une seule porte d’ouverte : la chambre des jumeaux. Papyrus avait dû aller les voir pour s’assurer qu’ils allaient bien. Sans s’avança jusqu’à la chambre et toqua doucement à la porte pour le prévenir de sa présence. Son frère était en train de bercer Chiller dans ses bras alors qu’Impact dormait encore dans le berceau. Le petit squelette l’interpella :

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  « Hey frangin je vais y al-

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Soudain il se figea. Quand son regard croisa celui de Papyrus, pendant quelques instants, son apparence changea en beuguant. Il ne portait plus son « armure de combat » et son écharpe habituel mais à la place il avait un sweat à capuche rouge, un bermuda marron et des tennis rouge. Son visage paressait aussi fatiguer que le sien et il avait une cigarette entre ses dents. Il prit un air interrogateur et il parla avec une voix plus grave et décontractée qu’à la normal :

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  « Bro ? Tout va bien ?

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Mais l’apparition fut de courte durée. Papyrus redevint lui-même en continuant à le regarder bizarrement. Sans se secoua et il répondit en essayant de rester naturelle :

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  « Euh…ouais sa va…je venais juste te dire que j’y allais.

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  « OH TRÈS BIEN !

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Sans s’approcha de lui et regarda Chiller qui dormait à présent.

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  « Elle s’est enfin endormie on dirait hein ? – remarqua Sans

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  « OUI…ELLE A COMMENCER A PLEURER ALORS QU’IMPACT DORMAIT. J’AI DÉCIDER DE LA CALMER AVANT QU’ELLE NE RÉVEILLE METTATON. -expliqua-t-il en regardant avec tendresse le petit bébé squelette/fantôme.

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Il la déposa dans le berceau et se retourna vers son grand frère quand il s’éloigna :

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  « TU VIENDRAS MANGER A MIDI ?

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  « Non, je suis à l’Université toute la journée. Je passerai juste rapidement « Chez Grillby ». Bon je vais être en retard d’ailleurs alors euh…à ce soir.

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  « OUI PASSE UNE BONNE JOURNÉE SANS ! – dit Papyrus en lui souriant

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  « Toi aussi bro…

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Sans quitta la pièce et se téléporta au détour. Arrivé à l’Université, il avança, songeur, se demandant ce qu’il venait de se passer.

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  « Quel bordel est encore en train de se tramer ?

​

*

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                Undyne venait d’arriver dans le commissariat de la ville, vêtu de son uniforme impeccablement mit. Il n’était que 8h30, et déjà on l’appelait auprès de son équipe pour des nouvelles…les plus déplaisantes. Elle traversa à grande enjamber le corridor principal passant devant le bureau d’accueil, la porte menant au bureau du commissaire puis après d’autre salles, elle franchit enfin la porte donnant sur la salle d’enquête. Son équipe l’attendait…et plaçait déjà d’autre images et fiches sur le tableau.

Les photos des nouvelles victimes sans doute. A son arrivée, Canisse, Canibelles, Commandogue, une policières rousses nommée Swanne et Carlos (un humain à la peau noir) se mirent aux gardes à vous.

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  « Bonjour capitaine Undyne. – dirent-ils en cœur.

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  « Bonjour Messieurs, Mesdames. (elle soupira) Qu’avons-nous cette fois ?

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  « Comme vous l’aviez craint capitaine, le tueur est toujours là. Il a tué vingt personnes cette nuit. Huit humains et douze monstres. – annonça Canisse en désignant du doigt les dossiers sur la table et le tableau.

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 « Il a attaqué différents groupes vers 23H, 23H30, 1H et 2H mais… - continua Canibelle.

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« Mais quoi ? – insista Undyne

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 « Ce n’est pas possible…certaines personnes ont été tué avec dix minutes d’intervalles mais les scènes de crimes sont trop éloignées pour qu’il est fait le trajet aussi rapidement ! – exposa Swanne, troublée.

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Undyne passa la main dans ses cheveux, accablé par le constat. Vingt personnes assassinées en une nuits. On dirait que le meurtrier veut accélérer les choses…et vu ce qu’Alphys lui avait dit, le pire était à craindre.

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  « Il y’a peut-être de la magie à l’œuvre. – suggéra Carlos

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  « Certainement…ce n’est pas un simple tueur en série agent Carlos. Nous avons affaire à une bien plus grande menace, mais nous en ignorons toujours la nature. – Undyne regarda son équipe, le visage grave- Il va falloir redoubler de prudence et…

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 « Capitaine Undyne ! Nous avons de nouveaux meurtres ! – s’écria un policier qui venait d’arriver à la porte d’entrée. – Cela vient d’arriver !

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 « (merde) Très bien on décolle sur le champ ! En avant ! – ordonna la femme poisson.

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Rapidement tout le monde se prépara à partir et ils se dirigèrent vers leurs voitures respectives. Tandis qu’elle se dirigeait vers son véhicule avec Cannis et Canibelle, Undyne appela Alphys :

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  « Il va falloir employer les grands moyens. (elle entendit Alphys répondre à l’appel) Alphys ! Je sais que tu dois être occupée mais…pourrais-tu me rendre un service ?

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  « O-Oui ne t’en fais pas j’ai le temps ! Que veux tu que je fasse ? – bégaya-t-elle

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  « Il faudrait que tu pirates les caméras de la ville.

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  « Attend…quoi ?! Mais-

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  « Alphys c’est la police qui te l’ordonne ! Je sais que tu as les capacités de peut-être enlever ces brouillages qui nous empêches de vois les meurtres. Je sais que tu peux le faire ! – s’écria t-elle en entrant dans la voiture.

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 Il eut un petit silence avant qu’Alphys finisse par répondre :

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  « O-ok…je vais essayer. Il y’a eut de nouveau meurtres pour que tu me demandes ça hein ?

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 « Oui…et pas qu’un peu.

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 « Oh…très bien je vais m’y mettre. Je te tiens au courant s’il y’a du nouveau. Soi prudente d’accord ?

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  « Ah ! Toujours Alphys ! Allez à plus ! – s’exclama Undyne avant de raccrocher

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Undyne se reconcentra immédiatement sur le trajet de leur voiture. La sirène était en marche et la radio du véhicule transmettait les conversations des forces de l’ordres. Cela n’avait rien de rassurant. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent dans la rue où se trouvait la discothèque et la boulangerie de Muffet.

La boutique de l’araignée était d’ailleurs en flammes.

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Après s’être mit sur le côté de la route, Undyne descendit immédiatement et traversa la route, dépassant les journalistes, les passants choqués, passa en dessous du cordon encerclant la nouvelle scène de crime et fut tout de suite frappée par le carnage.

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Des tas de poussières avec les vêtements de leurs propriétaires les recouvrant, des corps d’humains ensanglanté étendus au sol. Ces corps se trouvaient dans le périmètre autour de la boulangerie en flamme. Undyne n’avait jamais vu ça. Impressionnée, sous le choc, elle s’avança jusqu’aux policiers déjà sur place. Leurs mines étaient grave et sombre.

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On répondit très vite à sa question muète quand ils la virent arriver. Quinze morts, dont cinq personnes dans la boutique. Muffet en faisait partie. Aucuns survivants, aucuns témoins. Juste les témoignages décrivant une explosion. Des araignées c’étaient rassemblé à côtés du cordon, ils semblaient accablés parce qu’il venait d’arriver à leur protectrice.

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Cachant ses émotions, Undyne ordonna à son équipe de s’activer afin de poursuivre l’enquête. La rage montait en elle.

L’auteur de ces crimes allait payer.